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Entrepreneur paysagiste

Comment est né MIERU ?

Le métier de paysagiste consiste à rendre – par le geste de l’homme – la scène naturelle encore plus attrayante.

Katsuhiro Inoue, paysagiste,
interview Core Kyoto, NHK

Contempler la beauté de la nature : les plantes, à elles seules, font que j’aime les jardins ! Le naturel aura toujours ma préférence face au minéral. L’idée qu’un végétal soit mis en valeur par les autres végétaux qui l’entourent – dans un jardin qui se développe à son rythme et de la manière la plus autonome possible – fait écho à ma sensibilité ainsi qu’à mes principes.

De cette sensibilité, j’en ai fait ma passion et mon métier.

Une passion, une philosophie

J’ai eu l’opportunité de faire deux voyages au Japon qui m’ont beaucoup apporté. De la richesse, tout d’abord, en y constatant une meilleure structuration de l’espace naturel par les éléments minéraux, persistants. De la nuance, ensuite, par le jeu permanent de perspective et de profondeur de champs, aussi bien en ville qu’à la campagne, dans les lieux de vie modestes comme dans les plus exubérants. Du sens, enfin, car chaque détail se voit, se comprend aussi vite que l’ensemble.

MIERU (見える mi é rou). Être visible.


Ma démarche

Les choix que j’effectue en termes de matières et textures font, qu’une fois le travail terminé, chaque partie du jardin est aimée et appréciée. Je relève régulièrement les différents défis qui se présentent à moi, qu’ils soient budgétaires ou structurels. Toutes mes missions se font bien entendu dans le cadre des DTU et des normes françaises. Ouvert aux projets novateurs, je mets ma créativité au service des idées. Pour certaines exécutions de chantier, je réunis d’ailleurs autour de moi collaboratrices et collaborateurs spécialisés dans les domaines qui l’exigent.

Photo du gérant de MIERU
Théodore George, gérant de MIERU